[Biohazard Extra] -= Les Yeux Du Démon =-

Belgamesh
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Bonjour à vous tous, lecteurs et autres fans de survival horreur. J'aimerais grandement vous présenter mon histoire afin que vous puissiez me conseiller pour la réussir au mieux.
Car, du haut de mes 17 ans, je me doute fort que toutes créations littéraires que je pourrais vous présenter ne vous interesseraient guère, à causes d'énormement de lacunes que j'aimerais pouvoir combler avec les années ...

Excusez-mon ortographe :rolleyes2 , de nombreuses fautes se sont dissimulées parmis les lignes, j'ai beau relire et relire, j'en retrouve de nouvelles à chaque fois, je suppose que vous serai également choquées par nombreuses d'entre-elles ...

Je tenais aussi à préciser que cette fiction est loin d'être terminée, mais que j'en ai perdu une bonne partie dans mes dossiers personnels que je n'arrive pas à retrouver ( :? ). C'est pourquoi je ne peut que vous donner le Chapitre Premier, mais normalement, le reste devrait suivre bientôt, dû moins, si cela vous interesse évidemment ...
Belgamesh a écrit :BIOHAZARD
Les Yeux Du Démon
Le prélude aux Monts Infectés

(J’ai volontairement retiré le prologue car il n’est pas encore tout à fait au point, j’ai préféré le résumer pour l’instant dans les quelques lignes d’Explication.)

Explication : Après le scénario qui s’est déroulé dans Biohazard, quelques semaines plus tard se déroule les scénarios de Biohazard 2 et 3 dans la ville de Raccon. Mais, mon histoire va porter sur quelqu’un d’autre qui se trouve dans la ville à ce même moment... Un français qui est venus avec son père à Raccoon, en raison du travail de ce dernier qui le mène à beaucoup d’endroits. Cette personne à 16 ans lors de son expérience à Raccoon City. Bientôt, il sera mêlé avec les S.T.A.R.S et surtout avec de nombreux autres personnages avec qui il tentera de mener une lutte acharnée contre Umbrella ...

I Le Commencement

Jean Charton était dans son lit, c’était l’année de ses 16 ans. A côté de lui, son père travaillait sur son ordinateur portable.
Son père avait trouvé le travail qui lui convenait le mieux et à présent, il gagnerait mieux sa vie. Jean était en vacances pour deux semaines à Raccoon City et dans maintenant huit jours il reprendrait l’avion pour retourner en France.
Le séjour se passait bien, mis à part que des rumeurs circulaient dans la ville comme soi-disant les « S.T.A.R.S » auraient découverts d’étranges créatures lors de leur mission dans les monts Arklay. Mais Jean et son père n’y croyaient pas un mot et ne sans souciait guère. Ils ignoraient même qui étaient les « S.T.A.R.S » et qu’elles étaient leurs rôles … Son père avait l’habitude de se coucher très tard, c’est pourquoi le fils se complaisait à faire des tours dans les quartiers alentours. Puis, à cause d’une blessure à la cuisse, il resta trois journées entières dans sa chambre à regarder la nuit et le jour passer …
Lors de son troisième réveil, Jean pus remarquer qu’il pleuvait énormément, que la ville était couverte de nuages et qu’elle était également plongée dans l’obscurité.
Son père lui servis une tasse de café avant de partir pour son travail, il partait respectivement les matins à 9h30 et revenait à 19h30. Jean regardât son réveil : 7h00, et son père devait déjà aller au travail.
Jean se mis debout, et lui demanda
―Tu n’es pas censé partir au travail à 9h00 comme pour les autres jours ?
Son père afficha un air étrange et masquant quelque chose
―Tout à fait, mais aujourd’hui je dois remplacer quelqu'un qui ne réponds pas à l’appel.

Jean se rassit alors sur sa chaise, et fini sa tasse de café sans se soucier d’autres choses.
Aujourd’hui il voulait visiter le parc de la ville, mais vu les conditions météo, il préférait rester dans la maison à se divertir autrement.
La journée passa et Jean, à partir de 19h20, regarda constamment l’horloge. Bientôt le tic tac sonna 20h00, et les minutes passèrent…
20h10… 20h15… 20h20… 20h30… pour finalement arriver à 21h00.
Son père ne revenait toujours pas, mais, il préférait rester à l’intérieur que de partir le chercher sous la pluie qui s’accentuait toujours plus et qui ne s’était pas arrêtée de la journée.
Finalement son père entra précipitamment dans l’appartement à 22h40. Il était affolé et affichait un air apeuré.
―Qu’est ce qui se passe ? Tu as vu l’heure ?
―Ecoutes, dit-il. Il y a eu quelques problèmes aux bureaux, mais ne t’inquiètent pas plus, tout va bien.
Il reprit son souffle et continua
―Je vais rester avec toi ce soir. Et demain, je partirai vers 6h00 pour revenir une heure plus tard, répondit son père vraiment pas rassuré.
Jean ne savait pas quoi dire, aujourd’hui son père était vraiment bizarre.
Ils mangèrent des raviolis en conserve avant de retourner dans leurs chambres.
Quand Jean se réveilla, il était 6h10. Son père était partit depuis 10 minutes.
Il repensait à cette nuit, il avait entendu des cris et des râles effroyables, il avait eu du mal à trouver le sommeil.
BAAAM !
Un coup de tonnerre se fit entendre. Et la pluie était toujours présente, un peu moins forte, mais encore présente.
Jean attendit, à 7h10 il décida d’aller sur le lieu de travail de son père étant donné que celui-ci ne revenait pas. Arrivé en bas des escaliers de l’appartement, il ouvrit la porte qui mène à l’extérieur et remarqua qu’il faisait très sombre pour une matinée.
Pour se rendre au lieu de travail de son père il devait contourner la route nationale (qui était barrée pour il ne savait quelle raison) pour passer par les bas quartiers. Après cinq minutes de marche il trouva étrange de n’avoir rencontrer personne à part quelques corbeaux aux yeux luisants. A un moment, il aperçu une personne allongée sur un bord de rue, il ne pouvait pas bien voir son visage de prêt alors il s’approchât. Mais quand il vit le visage de la personne, son sang se glaça, la personne avait perdu un œil, à la place se trouvait un gros trou béant d’où s’évacuait des gerbes de liquide violacé, ses lèvres étaient écorchées et sèches, son visage était pâle, et parcouru de nombreuses blessures, il lui manquait la moitié de ses cheveux, et sa bouche était couverte de sang et de bouts de chaires fraîches… De plus, il portait des traces de morsures sanglantes sur sa hanche droite.

[La rencontre avec le premier Zombie]

Quand il vit ça, Jean recula d’un pas. Et une seconde plus tard, la créature bascula en avant pour happer sa jambe. Notre protagoniste détala à toute allure, franchit l’étroite rue et passa par une porte qui se trouvait la pour la refermer aussitôt derrière lui.
Quelle était cette chose affolante, il se le demandait. Et pourquoi les rues étaient désertes ? Ca aurait pu être parce qu’il était tôt le matin mais il aurait quand même entendu du bruit et de l’animation dans les maisons, et puis de toutes façons il y aurait sûrement quelques ivrognes ou quelques amoureux traînant par la, mais rien, à la place de ça il s’était retrouvé né à né avec une créature immonde ayant la hanche dévorée.
Il avait vraiment du mal à tenir debout, se remémorant le visage tuméfié de la personne. Soudain, un bruit lui fit reprendre vie, il se retournât et compris que c’était la chose qui frappait à la porte.
Il ne savait plus quoi faire, alors il recula et recula, quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrit et le zombie se jeta en avant, faisant basculer Jean en arrière, ce dernier se retourna à la vitesse de l’éclair et ramassa un objet pointu et métallique. Il se retournât et le lança en direction du zombie, qui se le prit dans le crâne, celui-ci s’effondra sans vie, un liquide noirâtre s’échappant de la plaie béante qu’il avait désormais dans le crâne.
Jean en dernier espoir avait ramassé un couteau qui traînait la…

Le couteau : arme d’autodéfense au corps à corps.
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C’était de pire en pire, maintenant, cette chose l’avait poursuivi et avait essayer de le mordre.
Jean avait de plus en plus de mal à s’en remettre, mais bien décidé à retrouver son père et a partir d’ici, il retrouva sérieux et calme, il avança alors vers le zombie, et retira le couteau de son crâne.
―Il pourra peu être encore servir, on ne sait jamais, dit-il avant de reprendre la direction opposée.
Quelques minutes plus tard, il se trouvait dans une autre rue étroite en réparation, sur le côté se trouvait une porte en métal qui n’avait pas de serrure. Quand il passa devant, celle-ci vola, et une personne « humaine » couru devant lui, en faisant un sprint elle passa derrière un barbelé et pris une autre porte. Jean n’avait pas réussis à distinguer nettement la personne tellement elle allait vite, mais il avait réussi tout de même à voir que c’était bien un homme. Il regardât dans le couloir qui était maintenant ouvert étant donné que la porte se trouvait par terre et il aperçu deux ou trois silhouette s’avançant vers lui en titubant et en boitant tel des ivrognes. Jean passa son chemin pour finir à aboutir dans une autre rue, où il avait vu encore deux autres créatures affalées contre les murs, regardant le vide et manquant d’expression. Il continuait sa route toujours en courant pour finir à aboutir devant la grosse porte en acier qui menait dans l’usine de son père. Il essayât d’ouvrir la porte mais celle-ci était fermée.
―Bizarre, normalement l’atelier devrait être ouvert …
Il décida alors de passer par la porte arrière, mais pour ça, il fallait qu’il repasse par le restaurant et qu’il empreinte une autre rue mal éclairée à cette heure ci du matin.
Il se dirigeât alors vers ce fameux dit restaurant. Il eut de la chance car il ne tomba sur aucune autres créature durant son parcours au restaurant. Arrivé devant la porte, il espéra fort que celle-ci ne soit pas fermée et baissa alors la clenche, la porte s’ouvrit en grand.
―Oufff, fit il avant d’entrer dans le restaurant où il n’y avait personnes. C’est étrange qu’il n’y ait personnes, pensa il, mais, tout est étrange ! Que se passe-t-il bon sang !
Il entra quand même et dévisagea par la même occasion un vieux papier qui traînait sur une table.
―Un guide de la ville, super, ça pourra peut-être me servir s’il faut que je sorte d’ici.
Il rangea le papier crasseux dans sa poche puis continua sa route vers la seconde sortie du restaurant. Une fois devant la porte, il s’arrêta car il avait entendu des coups de feu.
―Qu’est ce qui se passe ?
Mais, aucunes réponses ne lui parvint, il ouvrit alors la porte et pénétra dans le couloir de derrière. Il aperçut deux chiens au fond du couloir, un était allongé et baignait dans une flaque de sang, l’autre était debout et montrait ses crocs. Le chien était une horreur, il avait perdu ses poils, sa chaire était presque manquante et ses muscles étaient à vif, ses crocs étaient intacts mais ils étaient imprégnés de traces rouges, son visage, à vrai dire, il n’avait plus vraiment de visage, sa gueule était maculée de sang, de nombreuses morsures et écorchures étaient présente et son oreille gauche était manquante, seul ses yeux blancs luisaient dans le brouillard qui couvrait la ville.

[La rencontre avec le premier Cerbère]

Jean était de nouveau figé et regardait le cadavre ambulant du chien qui avait peut-être été autre fois un Rottweiler. Précipitamment, le chien se mis à courir dans sa direction, et il l’évita de justesse quand il ouvrit sa gueule pour accueillir de la viande humaine. Jean fit un roulé boulé et se releva maladroitement avant de se mettre à courir à son tour en direction d’une autre rue. Mais il ne pouvait rien faire, le chien courait beaucoup plus vite et il ne tarderait pas à le rattraper. Quand le chien fut prêt à le happer, il se retourna en fermant les yeux et en tendant son bras d’où le couteau était armé, le chien sauta pile poil au même moment et il s’enfonça le couteau dans la gorge, après quelques derniers hurlements le chien se laissa aller par terre et s’endormit à son tour pour l’éternité. Il avait vraiment eu de la chance de ne pas s’être fait déchirer le bras, le chien avait subitement sursauter en arrière quand la lame lui parvint dans la gorge si bien qu’il n’eut pas le temps de refermer sa mâchoire. Il ne rechercha pas le couteau cette fois ci, il ne voulait pas fourrer sa main dans la gorge de la répugnante créature.
Il afficha un air dégoûté et continua son chemin. La suite se passa sans problèmes.
Enfin, il arriva devant une petite porte aux teintures rouillées, de la clenche pendait un cadenas ouvert. Il poussa la porte, et celle si s’ouvrit pour laisser par à la salle du système électrique qui alimentait les bureaux.
Il avança de quelques pas et s’arrêta brusquement, des gémissements résonnaient faiblement dans l’usine. Il continua dans l’allée, passa prêt du système électrique et …
Ca y est, il avait trouvé l’origine des gémissements, un ouvrier en chemise bleue rayée se tenait allongé contre un mur, il tenait son ventre avec son bras droit.
Il s’approcha et lui demanda
―Qu’est ce qui se passe ici bon sang ? Et que vous est il arrivé ?
L’ouvrier remua légèrement la tête et répondit très lentement pour ne pas écouler trop vite ses derniers souffles de vie.
― Les bureaux, … la ville … tout… ils ont tous attaqués… répondit lentement l’ouvrier.
―Qui « ils » ? Qui sont ils ? redemanda-t-il effaré.
―Des œuvres du démons, des morts qui bougent, ils se nourrissent de chaire humaine, ce sont des cannibales, et en plus de ça, celui qui a été contaminé par l’un deux en devient un à son tour…
L’ouvrier émit un autre gémissement et serra beaucoup plus fort son bras contre son ventre, du sang s’écoulait d’une large plaie qui lui avait ouvert les intestins à vif.
Jean le regarda et commença
―Mais, vous …
―Je suis mordu oui … Je vais devenir l’un deux à présent … coupa l’ouvrier.
―Mais, il faut vous soigner, suivez-moi je vais vous emmener à l’hôpital !
―Non, toute la ville a été attaquée, et l’hôpital n’est sûrement plus à cette heure ci, je préfère écouler mes dernières minutes de vie ici… Partez ! Partez sur le champ ! Et refermer à clef la porte derrière vous, je ne veux pas servir le mal en allant planter mes dents dans un autre corps, le contaminant à son tour une fois que je serai moi-même devenu l’un deux…
―Je comprends …
Jean répondit bêtement ces deux mots, mais en fait, il ne comprenait plus rien du tout ! Tout se bousculait dans sa tête et les chocs émotionnels qu’il avait reçu pour un garçon de son âge l’affaiblissaient lourdement …
Il se décida à partir vers le niveau inférieur en prenant soigneusement le temps de verrouiller la porte.
―Voila, puisse-t-il avoir le repos de son âme maintenant …
Il continua son chemin et fouilla les bureaux, il ne vit personne, et ne tomba que sur un spray désinfectant.

Spray désinfectant : désinfecte les blessures permettant ainsi à l’utilisateur de retrouver la santé.
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Il se releva donc, et rangea le spray dans sa poche, en avançant vers une autre porte métallique à l’extrémité de la pièce, il chuta sur un objet en fer, il se ressaisi avant de se ramasser complètement parterre, et examina ce qui l’avait fait tomber. En fait, il s’avérait que c’était une pointe de fer qui dépassait de l’épais tapis, il essaya de la retirer mais il n’y arriva pas, il souleva alors le tapis, et vit que la pointe de fer était justement un levier pour soulever une trappe cachée sous la carpette.
Il pouvait explorer encore deux endroits maintenant, passer par la porte dans la salle, ou par la trappe sous le tapis. L’idée de passer directement par une trappe aussi bien cachée lui fit parcourir un léger frisson dans le dos et il prit alors la décision de passer par la porte.
Arrivé à l’intérieur de la nouvelle pièce, il comprit qu’elle n’avait aucune autres sorties que celle par laquelle il était entré. La pièce était assez petite et très sombre, il n’y avait qu’une faible lumière venant d’une vitre crasseuse placée sur le mur droit. En fouillant la table présente au milieu de cette salle, il remarqua que des bouteilles d’huile de moteur étaient disposées là, et qu’une de ces bouteilles était renversée sur le sol, non loin de la fenêtre crasseuse. Alors, en voulant examiner la flaque d’huile présente parterre, il s’approcha immanquablement de la vitre sale, il passa alors sa main dessus pour l’essuyer, et pris une soudaine peur quand il vit des traces de sang sur le sol de l’autre côté de la fenêtre, en fait, la pièce présente de l’autre côté de la vitre était tout simplement celle où l’ouvrier blessé était allongé, il ne s’inquiéta pas plus pour les traces de sang quand il comprit que c’était celle de l’ouvrier. Il retira vite ses mains de la vitre car celle-ci était brûlante, en examinant plus lentement la glace, il remarqua que des câbles électrique était fixés sur la partie droite de la vitre, et qu’ils menaient à un dispositif d’auto chauffage pour éviter les condensations trop fortes dues au changement de température entre les deux salles, en effet, Jean l’avait remarqué aussi, la salle où il était présent en ce moment était beaucoup plus froide que la salle du système électrique où l’on suait presque.
Il avait à présent tout examiné de cette salle, et n’avait rien trouvé d’intéressant, il décida alors de repartir pour passer par la trappe. Mais, quand il posa son pied sur la trappe, il entendit un gémissement assez fort, lui paraissant venir de la salle du système électrique, alors, son corps s’immobilisa de terreur, et ses muscles refusèrent de fonctionner pendant plusieurs minutes, il y eut ensuite une succession de cris de douleurs intempestifs suivi de plusieurs grognements affreux … Par curiosité, et surtout pour s’assurer qu’il n’y avait pas de problèmes dans la salle du système électrique, Jean décida de retourner dans la salle sombre pour regarder à travers la vitre. Mais, quand il entra dans la petite salle, il remarqua que le système d’auto chauffage de la vitre était défectueux, car la vitre était de nouveau devenue opaque à cause du givre, il s’approcha alors et passa sa main sur la glace afin de pouvoir voir au travers.
Il fit précipitamment un pas en arrière quand il vit l’ouvrier entrain de cogner sur la vitre, il avait à présent les yeux blancs, le visage ridé, de nombreuses taches de sang étaient maintenant présentes sur sa chemise, celles-ci venaient de sa bouche qui en bavait presque s’en s’arrêter, et finalement, un air vide d’expression c’était infligé douloureusement, semble t-il, sur son visage. Jean s’immobilisa quand il trouva une forte ressemblance avec l’étrange personne qu’il avait rencontrée dans les bas quartiers, la même expression était présente sur son visage. L’ouvrier, qui était définitivement devenu un zombie comme beaucoup d’autres, cogna de plus en plus fort la vitre en émettant des râles de douleurs coupées par des éjections de sang venant de sa bouche. Soudain, le verre craqua puis cassa et le zombie se rua alors dans la petite pièce où se trouvait notre garçon, apeuré. Le zombie tomba en avant pour passer à travers la vitre si bien qu’il était à présent parterre et qu’il se mettait à ramper. Jean, de son côté, était lui aussi tombé en arrière lorsque l’ouvrier s’était enfilé à travers la vitre, il était à présent sur les fesses.
Le zombie rampa alors en sa direction d’une vitesse fulgurante en glissant sur l’huile de moteur et lui saisi le pieds, celui-ci se débattit en faisant de grands gestes avec la jambe mais le zombie ne lâchait pas prise, Jean recula alors et se cogna la tête contre le mur de derrière, en levant les yeux, il remarqua que le système d’auto chauffage de la vitre avait été brisé et que les fils de courants, fêlés à présent, pendait sur le sol en émettant de nombreuses étincelles. Il eu soudain une idée pour se débarrasser du monstre, il saisi un câble électrique et le jeta sur l’huile de moteur où le zombie se trouvait, le liquide s’enflamma immanquablement et il pus se relever aussitôt quand le zombie lâcha ses bras pour se tordre de douleur face aux flammes. Jean se terra dans un coin opposé des flammes dans la pièce et contempla le spectacle. Le zombie, sous la chaleur, se releva alors pour échapper aux brûlures mais ne réussi qu’a rechuter une nouvelle fois sur les autres bouteilles d’huiles, celles-ci s’enflammèrent alors pour inonder la pièce d’une fulgurante explosion qui se termina par un bûcher géant. Quand le zombie s’était relevé, Jean, sous l’effet de la peur, s’était alors enfuis de cette pièce, ce fut un coup de chance qu’il ne grille pas avec ce monstre …
―Bordel de merde ! Mais qu’est ce qu’il se passe ici !
Il visiblement très énervé, ne perdit pas une seconde pour ouvrir la trappe et se faufiler à travers.
Arrivé en bas, il se trouva dans un couloir sombre et exigu en forme de L. Il avança prudemment dans la pénombre, tourna sur sa droite au virage et tendit les mains à tâtons jusqu'à tomber sur la clanche de l’autre porte.

Suite plus tard …

Voili voilou, que pensez vous donc de ce début :hehe ?
"On le fera seulement pas pour vous ...
Ni pour une m?daille, ni pour un sous ...
Croyez-le ou pas, malgr? vos avocats,
Un beau jour on vous le rendra !"
-Tagada Jones "Le feu aux poudres"
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