Resident Evil : Death Island - le nouveau film CG est dévoilé !

Éditions physiques japonaises annoncées pour Biohazard : Death Island | 04/09/2023 à 12:34

Les éditions BluRay de Biohazard Death Island ont été dévoilées pour le Japon, avec le doublage japonais inclus et une édition Premium regroupant un super boitier, dépliant, le film et ses bonus sur 2 disques, ainsi qu'un mini artbook (probablement celui distribué dans certains cinémas japonais).



Contenu annoncé pour le disque bonus (qui semble similaire à celui que nous avons en occident), d'une durée de 53 minutes :
  • un tour des séquences de motion capture.
  • comment les images de synthèse sont produites ?
  • comment atteindre une représentation parfaite de Jill Valentine ?
  • un tour des séquences de doublage.
  • pour les fans du monde entier.
  • galerie
  • leçon de Eiichiro Hasumi (directeur) et Yoshi Miyamoto (producteur CG).
Date de sortie au Japon : 25 octobre 2023
Prix : 8,580 yen (environ 54€)

Le film sera également disponible au Japon en version digitale avec le doublage japonais au 22 septembre.

Source : site officiel de Biohazard : Death Island

Resident Evil : Death Island - la critique du film | 21/08/2023 à 11:04

Désolé de vous proposer la critique du film Resident Evil: Death Island tardivement mais sa sortie en pleine période de congés n'a pas aidé à une rédaction rapide de ma part. Ceci dit, il fallait quand même que je vous la rende, alors bonne lecture !

Resident Evil Death Island : LA CRITIQUE (par tonton Hunk)


Resident Evil Death Island est la cinquième production animée en images de synthèse (CG) à mettre en action des héros de la série des jeux Resident Evil. Et cette fois, Capcom et Sony Pictures les réunit (presque) tous dans une team, façon Avengers, pour sauver cette fois encore, le monde du bioterrorisme.

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je voulais revenir sur la sortie, plutôt rock’n’roll, de ce film CG.
Pour commencer, tout le monde n’a pas eu la chance de découvrir le film au cinéma. Même pas une avant-première unique en France au Grand Rex, c'est dire... De plus, les dates de sorties ciné se sont échelonnées selon les territoires où il était proposé dans le monde (de fin juin dans certains pays jusqu’à début juillet pour sa sortie au Japon).

En France, le distributeur n’a pas jugé bon (ou rentable ?) de prévoir une sortie cinéma au beau milieu de l’été, c’est donc sous la forme d’une sortie directe en vidéo (VOD et physique) que nous avons pu découvrir Resident Evil Death Island le 2 août dernier alors que le territoire nord-américain était en avance d’une semaine...

En France, si vous avez opté pour le format Blu-Ray, sachez que Sony Pictures Home Entertainment nous propose une version 4K du film mais pas de steelbook, réservé uniquement au territoire nord-américain.

Dernière chose, si vous espériez une version 3D dans un quelconque format, c’est raté ! Bien que les technologies des casques VR de Sony PlayStation ou des TV 3D (si vous en avez encore une) permettent toujours d’admirer la profondeur des images en 3D, dites-vous bien que cette technologie semble désormais aux oubliettes ! Je ne peux que le déplorer car certaines scènes du film Resident Evil Death Island méritaient incontestablement ce traitement 3D numérique. Il ne vous reste plus qu’à vous consoler avec Biohazard Damnation (Blu-Ray japonais donc), seul opus CG aujourd’hui à proposer la 3D dans le salon pour un film CG.

Voilà, j’en ai terminé avec mon coup de gueule. Désolé mais alors que le jeu vidéo nous propose depuis longtemps des sorties mondiales pour les titres de jeux vidéo, l’industrie cinématographique ferait mieux de prendre des leçons et de se caler sur une norme établie à présent et appréciée des joueurs qui plus est. Vous pouvez continuer la lecture mais je tiens à vous préciser que ma critique contient quelques spoilers, donc arrêtez-vous ici si vous n'avez pas encore vu le film.

On revient donc à nos lickers et nos zombies de Resident Evil Death Island. Je commence par ça parce que c’est peut-être ce qui m’a le plus déçu dans ce film, la pauvreté du bestiaire rencontré. Ceci dit les zombies proposés dans cet opus m’ont bien plu, ils se comportent différemment, la faute à l’amélioration du virus-T.

Quant aux lickers, ils sont eux aussi différents car amphibiens désormais, mais leur passage en ligne droite dans les égouts est bien trop court pour apprécier le changement de cette A.B.O. (arme bio organique) qui au demeurant est reprise à toutes les sauces, dès que possible.
Un peu de changement ferait du bien peut-être, non ?



L’intrigue se déroule principalement sur l’île prison d’Alcatraz, et nos héros font face à Dylan Blake, le méchant de cet épisode, un être confus, véritable traumatisé de la vie rongé par un terrible sentiment de culpabilité et de trahison. Avec ce qu’il a vécu par le passé, il en veut au gouvernement et à tous les organismes et ONG dirigés faussement et corrompus de l'intérieur, plus particulièrement ceux de la team AVENGERS constituée de Jill Valentine (BSAA), Leon S. Kennedy (DSO), Chris Redfield (BSAA), Claire Redfield (TerraSave) et Rebecca Chambers (BSAA).



C’est bien d’avoir voulu confiner l’espace du terrain de l’opération à ce lieu pittoresque, mais j’ai trouvé le décor d’Alcatraz bien trop terne et ennuyeux finalement. Heureusement que pour l’action finale, un tout nouveau décor d'arsenal de base sous-marine a été pensé. Cela sauve l’ennui dans lequel on se retrouve une bonne partie du film.

L’histoire du traumatisme de Dylan est intéressante, et la référence à ses coups de canne subtile mais ça s’arrête là. Le personnage en lui-même n’a pas le charisme des grands vilains de la saga. Son jeu de la roulette russe passerait presque comme inutile, puisqu’on se doute bien que rien ne se passera pour le bon déroulé du film. Un suspense raté comme lorsque nos héros sont contaminés et seront finalement sauvés par Rebecca, la Miss Antidote / Vaccin, toujours là pour l’équipe.



Le docteur Antonio Taylor a créé le prototype du bio-drone chargé de piquer les personnes à leur insu. Un moustique miniature permettant de contrôler l’infection à distance. Et Dylan Blake ne s’en prive pas, animé qu’il est de faire payer tous ceux qui ne sont pas dignes de vivre à ses yeux et semer ainsi le chaos autour d’eux. Taylor n’est là que pour affirmer la formule retenue de ce nouveau mode de contamination, original et pour le moins diabolique, mais qui s’éloigne tout de même des standards de la série. On passe donc de l’arme bio-organique au bio-drone pour infester. Et la triste actualité, bien réelle celle-là, nous le rappelle tous les jours : nous sommes entrés dans une ère de guerre des drones…

Quant à Maria Gomez, la fille de Diego (Resident Evil Vendetta), elle n’a qu’un but et n’existe ici que pour se retrouver face à face avec le bourreau de son père : Leon S. Kennedy. La scène les amenant tous deux à leur affrontement est juteuse, Maria prenant rapidement le dessus sur un Leon affaibli par une récupération lente face au virus qu’il a reçu. La suite… ? Un Super Leon qui n’a que faire de la trempe qu’il reçoit, comme toujours, et Maria qui crève plus vite que son ombre dans une scène qui ne surprend plus.

La partie se déroulant à San Francisco est anecdotique, malgré les 12 cas relevés de contamination nullement développés ici, et ne prétexte ici que de mettre en selle Leon sur sa nouvelle moto. Aucune scène d’attaque donc sur cette ville comme la fameuse attaque des hunters sur Terragrigia observée dans Resident Evil Revelations. C’est faiblard. Surtout qu’après un début en trombe, on retombe vite dans un creux narratif pas assez intéressant.



J’ai trouvé globalement que réunir 5 héros des jeux dans un seul épisode, plus court qu’à l’accoutumée, ne marchait pas si bien finalement. Pas le temps de les développer, j’ai cru assister à une compétition de héros pour les fans à qui va aimer le mieux le sien.
De mon point de vue, le character design de Rebecca est en dessous de celui vu constaté dans Vendetta.
Claire, avec sa sempiternelle queue de cheval, est aussi moins bien réussie que Chris, Leon et Jill.

J'en attendais aussi plus sur le développement de l'histoire de Jill, avec par exemple des flashbacks inédits qui se seraient incrustés, mais cela ne s’est pas produit. Ça aurait été l'occasion de montrer Wesker en CG, pour détailler un peu plus le traumatisme de Jill mais non... Une désillusion pour ma part.

Alors, il reste quand même quelques satisfactions comme la scène du licker s’approchant de Jill pour tenter de la lécher (quand je vous disais pour la 3D ^^ ), la bande son et les bruitages phénoménaux avec une mention spéciale pour l’attention donnée au réalisme du bruitage des armes dans le film (une volonté chez Capcom depuis Resident Evil 2 en 1998) et les références à Resident Evil 5 et Resident Evil 6 dans les conversations.



En conclusion, Resident Evil Death Island fait mieux que son prédecesseur, Resident Evil Infinite Darkness (ce n’était pas difficile), mais moins bien que Vendetta, Damnation et même Degeneration sur le plan de l’histoire qui nous est racontée. On passe toutefois un bon moment avec nos 5 héros emblématiques de la saga et c'est même mieux si on le regarde plusieurs fois (si, si !).
On se consolera en se disant que la technologie d'aujourd'hui aidant, il bénéficie de l’animation CG la plus réussie des 5 opus CG sortis jusqu’à présent. Un moindre mal.

Note : 7/10
Plus loin…

A noter que 7 bonus vous sont proposés sur le Blu-Ray, véritables petits making-of découpés qui vous expliqueront certaines parties du développement de la production de Resident Evil Death Island, comme l’explication du retour de Jill Valentine et une galerie des personnages, monstres et concept arts des décors toujours plaisants à parcourir.



Les références aux jeux et autres films CG :

En tant que fan qui se respecte, nous sommes tous tentés de repérer les clins d’œil références aux autres épisodes, qu’auront bien voulu glisser l'équipe de production dans le film. En voici quelques-uns que j’ai repéré, la liste n’est évidemment pas exhaustive…
  • L’ orque échoué sur la plage rappelle les A.B.O. (Globster) échouées sur le sable dans Resident Evil Revelations.
  • La progression de Jill à la torche dans la maison semblable à la progression de Leon dans le commissariat du remake de Resident Evil 2.
  • La progression de Jill jusqu’au cadavre au sol, plein de sang, rappelle les flaques de sang dans lesquelles trempaient les zombies du remake de Resident Evil dans le manoir.
  • Jill au stand de tir qui rappelle celui du commissariat du remake de Resident Evil 2 et Resident Evil 1.5
  • Le fameux Samurai Edge de Jill, qu’elle perd malheureusement en route…
  • Le requin géant, référence à l’A.B.O. NEPTUNE de Resident Evil.
  • L’île prison d’Alcatraz rappelle la capture de Claire Redfield et Moira Burton sur l’île pénitentiaire dans Resident Evil Revelations 2.
  • Les égouts, une référence évidente à Resident Evil 2 et le remake de Resident Evil 3.
  • L’utilisation des barils explosifs pour infliger des dégâts plus importants aux ennemis.
  • Hardvardville citée en référence au virus-T, également présent dans Resident Evil Degeneration.
  • Le courant d’air que découvre Leon pour faire un trou dans le mur rappelle les nombreuses énigmes intégrées dans les jeux.
  • Les bacs d’incubation des bio-drones ne sont pas sans rappeler à un passage dans Resident Evil Outbreak.
  • Jill, dans sa fuite dans les égouts, court de façon rigide comme dans les premiers jeux aux tank controls, plutôt amusant.
  • Le Humvee et la gatling comme pour le combat contre Ndesu dans Resident Evil 5.
  • Le boss de fin énorme semblable au Nemesis type-final dans le remake de Resident Evil 3.
  • Jill qui utilise le canon à plasma après une attente de la charge maximale pour tirer sur le boss grotesque final comme dans le remake de Resident Evil 3.
  • La revisite de l’inventaire de la plupart des armes utilisées dans les jeux (lance-roquettes, fusil à pompe …)
  • L’évitement par les héros des obstacles qui leur tombent dessus.
  • Les héros tous réunis à la fin sur l’héliport de l’île, en attente de l’évacuation par hélicoptère comme dans Resident Evil.
(C) 2023 CAPCOM / DEATH ISLAND PARTNERS TOUS DROITS RÉSERVÉS

Scans du mini-artbook de Resident Evil : Death Island | 25/07/2023 à 9:39

C'est aujourd'hui la date officielle de sortie de Resident Evil : Death Island en VOD ainsi qu'en Blu-Ray/DVD dans les points de ventes, qui semblent cependant exclusivement américains.
Les revendeurs français indiquent encore, quant à eux, une date de sortie au 2 août.

En attendant, voici les scans du mini-artbook distribué aux spectateurs dans plusieurs cinémas japonais, merci à @AlleenasPixels pour le partage :



Visuels des armes et des armes biologiques :

Interview de Stephanie Panisello, la voix de Claire Redfield depuis 2019 | 12/07/2023 à 16:22

À l’approche de la sortie de Resident Evil: Death Island, PushSquare a pu interviewer Stephanie Panisello, l’actrice qui prête sa voix à Claire Redfield depuis le remake de Resident Evil 2.



Push Square : Avant votre première interprétation de Claire Redfield dans Resident Evil 2 sorti en 2019, est-ce que vous connaissiez déjà le personnage, ou est-ce que ce projet vous a introduite à la franchise ?

Stephanie Panisello : Je connaissais le jeu ainsi que le personnage de Claire, car j'avais joué en partie à Resident Evil 2 chez un voisin lorsque j'étais enfant. Je me rappelle avoir trouvé à quel point c'était super de voir un personnage principal féminin à une époque où c'était assez rare.

Push Square : Avez-vous rejoué au jeu original sur PS1 pour vous remémorer le scénario et le personnage de Claire ?

Stephanie Panisello : Capcom et le directeur m'ont demandé de m'approprier le personnage. J'ai donc choisi de conserver son essence tout en développant davantage sa personnalité. Je suis heureuse de constater qu'elle est toujours aussi populaire, malgré ses jurons, haha.

Push Square : Pouvez-vous nous citer quelques-unes de vos répliques ou scènes préférées avec Claire ?

Stephanie Panisello : J'ai adoré la scène dans le parking avec le commissaire Irons.
Je suis contente qu'on m'ait donné l'opportunité d'apporter mon aide à l'élaboration de la chorégraphie, et d'improviser un peu. La fameuse réplique finale, "Je t'aurai enfoiré !", m'a paru tellement naturelle. Haha. Donc merci au producteur M. H de Capcom de m'avoir fait confiance, ainsi qu'au directeur de la motion capture Tom Keegan et au scénariste Brent Friedman de m'avoir laissée faire.
Une autre de mes scènes préférées était celle avec Eliza Pryor, qui incarne Sherry, lorsque Annette l'abandonne dans le compacteur de déchets. C'était une scène très émotionnelle, et la porter dans mes bras tout en évitant les caméras faciales était une vraie prouesse.
Je suis heureuse de dire que c'est ce jour-là que la réplique "Parce que je tiens à toi" (because I care en anglais), qui résume très bien le personnage de Claire, est devenue une de mes répliques favorites.

Push Square : Vous avez toujours préféré jouer avec Claire plutôt qu'avec Leon pour votre première partie, n'est-ce pas ?

Stephanie Panisello : Je mentirais si je niais avoir choisi Claire pour commencer, haha. Pour être honnête, j’y ai joué plusieurs fois et je ne me rappelle pas avoir commencé par Leon une seule fois… Il faudra que j’essaye.

Push Square : Bon, où est donc ce remake de Resident Evil Code: Veronica X ? Claire mérite bien à un moment d’avoir le seul rôle principal !

Stephanie Panisello : La bonne vieille question, qu’on me pose régulièrement. Malheureusement, ce n’est pas moi qui décide.
Mais je suis bien d’accord que ce jeu mériterait qu’on y revienne.
Je serais honorée d’être à nouveau choisie par Capcom pour un éventuel remake. Mais c’est au final à Capcom de décider. J’apprécie la direction que la série prend avec les remakes, donc je croise les doigts pour celui-ci.

Push Square : En quoi cela diffère d'interpréter Claire dans les films d'animation et dans les jeux ? Avez-vous remarqué des différences dans son personnage entre ces deux formats ?

Stephanie Panisello : Claire dans Resident Evil Infinite Darkness et Death Island n’est plus la même que dans Resident Evil 2, dans sa façon d’affronter les situations.
Elle est plus confiante dans ses choix après avoir survécu à Raccoon City.
Dans le jeu, on découvre son introduction dans l’univers, on apprend à la connaitre et savoir ce qui l’effraie.
Chaque héros a sa propre histoire et j’ai gardé ça en tête en l’interprétant dans la franchise. J’essaye de garder tout ce qui fait son personnage tout en lui permettant de développer ses propres convictions. Elle a une moralité très forte.
J’ai hâte que tout le monde découvre ce qui attend Claire dans Death Island.

Push Square : Qu’est-ce que vous appréciez le plus en interprétant Claire ? Est-ce que vous vous retrouvez dans son personnage et sa personnalité ?

Stephanie Panisello : J'aime le fait que Claire se soucie des autres. C'est aussi une vraie dure à cuire, quelqu'un d'extrêmement résilient. Je retrouve un peu d'elle dans ma personnalité, je suis en phase avec son approche directe. Avec elle, il n'y a pas de faux semblant.
Elle est également drôle, et j'aime penser que je le suis aussi.

Push Square : En dehors de Resident Evil, quels ont été les autres jeux vidéos sur lesquels vous avez préféré travailler ? Nous avons remarqué que votre nom figure dans les crédits de The Evil Within 2 - un classique !

Stephanie Panisello : J’ai adoré travailler sur Genshin Impact et incarner le dieu omniscient adeptus : Cloud Retainer. Je pense que c’est la "Moira Rose" (Schitt's Creek) de Genshin. Elle connait tout le monde, sait tout, est tout-puissante, et pourtant elle fait parfois des fixations sur des choses mineures tout en exubérance.
J’ai aussi adoré interpréter Fearie dans Trials of Mana et Vora dans Paladins.
Ce sont tous des personnages très différents avec des objectifs très différents. C’est ce que j’aime dans le métier d’actrice, que ce soit pour un personnage héroïque ou malveillant, j’aime découvrir ce qui les motive.
Et effectivement, bien vu, j’ai fourni la motion-capture faciale pour le personnage d’Esmeralda Torres dans The Evil Within 2 au début de ma carrière.
Il ne faut pas oublier non plus Tomb Raider, Star Wars, et Gears of War... je me sens vraiment chanceuse d’avoir participé à autant de grandes franchises de jeux vidéo !

Push Square : Avez-vous réussi à suivre les dernières nouveautés de Genshin Impact ? Avez-vous testé Honkai: Star Rail ?

Stephanie Panisello : J’aurais aimé essayer mais j’ai à peine le temps de jouer en streamant sur Twitch ces derniers jours. Je sais que c’est un jeu très beau et massif avec une communauté fidèle. Peut-être qu’un jour, j’aurais l’occasion d’y jouer.

Push Square : Comment vous avez trouvé le remake de Resident Evil 4 ?

Stephanie Panisello : J’adore Resident Evil 4. Ils ont fait un super boulot avec ce jeu et mon ami Nick Apostolides qui incarne Leon a vraiment assuré ! Très satisfaite du jeu et j’y rejoue encore.

Push Square : Est-ce que vous avez essayé d’autres jeux d’horreur en dehors de la série Resident Evil ? Quels sont vos préférés ?

Stephanie Panisello : Je suis une grande fan de The Last of Us et Limbo. J’ai encore Five Nights at Freddy's et Silent Hill sur ma liste. J’avais essayé de finir Alien Isolation mais je me suis fait démolir. C’est un sujet fâcheux, haha.

Push Square : Dites-nous en plus sur votre devise et votre pseudo Twitch "Because I Claire", en dehors du lien évident avec Claire Redfield ? Comment l’utilisez-vous pour diffuser des messages d’encouragement sur Internet ?

Stephanie Panisello : J’adore les jeux de mots, surtout ceux qui ont une signification profonde.
Quand il y a eu la pandémie, mon pseudo Twitch a pris une toute nouvelle signification. Je ne pense pas que nous avons besoin de raisons très élaborées pour s’entraider, ni d’avoir des projets grandioses.
C’est simple, je m’en soucie donc je fais. J’utilise ma voix et les plates-formes pour créer un environnement accueillant pour tous. C’est un endroit où on peut rire, se poser, s’inspirer et se sentir à l’aise.
J’encourage les autres en étant un exemple de gentillesse et sincère avec les autres. Je n’embellis pas les choses, je reste honnête.
J’aime bien apprendre à connaitre les gens, ce qu’ils aiment, et d'où ils tirent leur force. Puis je les encourage avec une bonne discussion franche.
Quand quelqu’un suit sa voie, je les encourage à s’accepter tels qu’ils sont d’abord, ce qui fait résonner leur esprit et je les soutiens !
J’ai en fait quelques bonnes opportunités pour cela, chacun est le bienvenu sur mon compte Instagram et Twitch pour en savoir plus.

Source : Pushsquare

Vous pouvez également trouver sur la chaine KCAL NEWS une interview vidéo :