Operation Raccoon City : rétrospective sur les personnages | 21/04/2014 à 18:33
Une interview récente d'un des scénaristes de Resident Evil Operation Raccoon City détaille son travail sur les personnages et nous apprend que leur histoire est sans doute plus développée que le jeu ne le laisse penser.
Adam Bullied nous explique en effet qu'en étoffant l'histoire des 12 nouveaux protagonistes jouables de cet opus, il a voulu leur bâtir une personnalité et une profondeur humaine. Ainsi, tout comme on sait que Lupo est une veuve offrant son âme au diable pour assurer un meilleur avenir pour ses enfants, Dee-Ay est un homme gay qui, comme tous ceux servant l'armée américaine, est un soldat brave et dévoué, loin des stéréotypes caricaturaux.
On comprend aisément du coup le jeu de mot sur son alias, Dee-Ay, rimant avec "DA" pour "Don't Ask". Une subtilité qui aura certainement échappé à Capcom.
Toujours selon Bullied, bien que le scénario final du jeu ne reflète pas tout ce qu'il prévoyait, il n'a pas vraiment été question d'explorer cette question directement.
"Et je pense que c'est mieux ainsi, sinon ça n'aurait pas été authentique. Ça ne serait pas crédible qu'il en fasse mention dans le déroulement du jeu, basé sur une apocalypse zombie."
Bullied souhaitait avant tout créer des personnages humains, en évitant les stéréotypes typiques du genre "les bons soldats contre les mauvais soldats".
On en vient du coup à regretter que le jeu n'explore pas davantage les protagonistes qu'il met en scène, à l'instar d'Outbreak qui par le biais des répliques, des objets à collecter et des compétences de chaque personnage étoffait subtilement l'histoire et la personnalité de chacun de ses principaux protagonistes jouables.
Source : Polygon
Adam Bullied nous explique en effet qu'en étoffant l'histoire des 12 nouveaux protagonistes jouables de cet opus, il a voulu leur bâtir une personnalité et une profondeur humaine. Ainsi, tout comme on sait que Lupo est une veuve offrant son âme au diable pour assurer un meilleur avenir pour ses enfants, Dee-Ay est un homme gay qui, comme tous ceux servant l'armée américaine, est un soldat brave et dévoué, loin des stéréotypes caricaturaux.
On comprend aisément du coup le jeu de mot sur son alias, Dee-Ay, rimant avec "DA" pour "Don't Ask". Une subtilité qui aura certainement échappé à Capcom.
Toujours selon Bullied, bien que le scénario final du jeu ne reflète pas tout ce qu'il prévoyait, il n'a pas vraiment été question d'explorer cette question directement.
"Et je pense que c'est mieux ainsi, sinon ça n'aurait pas été authentique. Ça ne serait pas crédible qu'il en fasse mention dans le déroulement du jeu, basé sur une apocalypse zombie."
Bullied souhaitait avant tout créer des personnages humains, en évitant les stéréotypes typiques du genre "les bons soldats contre les mauvais soldats".
On en vient du coup à regretter que le jeu n'explore pas davantage les protagonistes qu'il met en scène, à l'instar d'Outbreak qui par le biais des répliques, des objets à collecter et des compétences de chaque personnage étoffait subtilement l'histoire et la personnalité de chacun de ses principaux protagonistes jouables.
Source : Polygon